L’Umih lance une pétition contre la réforme injuste et dangereuse pour l’emploi dans notre secteur du titre-restaurant et pour soutenir l’instauration du double plafond de 25 € afin de préserver l’équilibre du dispositif et de soutenir les commerces. Le projet de loi devrait être déposé en septembre 2025 puis débattu d’ici fin 2025.
Catégorie : Actus
Lettre aux Maires du Vaucluse
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LETTRE AUX MAIRES DU VAUCLUSE
Objet : Inquiétudes quant à la multiplication de débit de boissons éphémères appelés souvent « guinguettes estivales » et rappel du cadre juridique applicable
Madame la Maire, Monsieur le Maire,
Notre syndicat l’UMIH 84 fédérant plus de 550 adhérents du secteur Cafés-Hôtels-Restaurants-discothèques-Traiteurs, vous adresse le présent courrier afin de vous faire part de ses profondes inquiétudes quant à la multiplication de débit de boissons éphémères appelés souvent « guinguettes estivales » qui, sous couvert de leur caractère « éphémère », exercent une activité de débitant de boissons voir de restaurateur en s’affranchissant du cadre juridique en vigueur.
Cette évolution inquiète vivement nos adhérents : ils se retrouvent en concurrence directe avec des exploitants souvent dépourvus de qualification, d’autorisation ou même de licence, bénéficiant ainsi d’un avantage concurrentiel indu, précisément au moment où, pour la plupart de nos professionnels, la saison estivale représente le sommet de leur activité.
Nous ne remettons pas en cause l’existence d’animations ponctuelles à l’occasion de fêtes publiques qui contribuent à l’attractivité estivale de la ville et ainsi répondent à une demande touristique plus forte. Cependant, la prolifération de débit de boissons éphémères appelés souvent « guinguettes estivales » et leur installation prolongée interrogent en termes de respect du cadre réglementaire en vigueur vis-à-vis de nos professionnels exploitant des établissements permanents sur le territoire de la commune et des clients en droit d’attendre une prestation conforme aux exigences fixées par le cadre applicable.
Ainsi il nous semble primordial de porter à votre attention la réglementation en vigueur encadrant ces guinguettes estivales.
Deux cas de figure :
– Soit l’exploitation est faite à l’occasion d’une fête – vente – manifestation publique au sens de l’article L. 3334-2 du Code de la santé publique, en pareil cas :
1/ L’autorisation est délivrée sous votre autorité pour :
un évènement ponctuel se déroulant généralement sur le domaine public qui ne peut être au profit exclusif de son exploitant,
2/ Si la demande émane d’une association, elle est limitée à 5 autorisations/an,
3/ Et la vente d’alcool est strictement limitée aux boissons relevant du groupe 3 (c’est à dire vin, bière, cidre etc.).
– Soit l’exploitation est faite en dehors du régime dérogatoire susvisé, en pareil cas c’est le régime de droit commun qui doit leur être appliqué, et notamment :
1/ La détention d’une licence à consommer sur place correspondant au type de boissons alcoolisées proposées, l’exploitant devant justifier du permis d’exploitation, dûment déclarée en mairie ;
2/ La modification des statuts de l’exploitant pour intégrer cette activité commerciale ;
3/ L’application des règles relatives aux établissements recevant du public (ERP), notamment en matière de sécurité et d’accessibilité ;
4/ Déclaration auprès de la SACEM pour toute diffusion de musique ;
5/ Respect de la réglementation en vigueur concernant les nuisances sonores et la diffusion de musique amplifiée, le cas échéant ;
6/ La déclaration de manipulation de denrées d’origine animale en cas d’activité de restauration ;
7/ L’élaboration d’un plan de maitrise sanitaire en suivant la méthode HACCP et justification dans les effectifs d’une personne justifiant de la formation hygiène (ou diplôme) ;
8/ L’affichage obligatoire des prix conformément à l’arrêté du 27 mars 1987 ;
9/ Le respect des règles concernant l’accès des mineurs aux débits de boissons ;
10/ L’observance des horaires d’ouverture et de fermeture fixés par l’arrêté préfectoral en vigueur ;
11/ La déclaration et mise à jour du registre du personnel.
De plus si une commune peut détenir et exploiter une licence, c’est « en cas de carence ou d’insuffisance de l’initiative privée, la notion d’intérêt public peut permettre à une commune, pour assurer le maintien des services nécessaires à la satisfaction des besoins de la population en milieu rural, de créer une entreprise commerciale dans le secteur d’activité où est constatée cette défaillance de l’initiative privée (article L. 2251-3 du code général des collectivités territoriales). »*
Ainsi la pratique de louer une licence à différentes associations pour une exploitation multiple ou successive pendant la période estivale « s’inscrit en violation des dispositions législatives du code de la santé publique », « De même, une licence III ou IV ne peut pas être mise à la disposition d’une association dans le cadre d’autorisations d’ouverture temporaire de buvettes au sens de l’article L. 3334-2 du CSP »2.
Nos adhérents investissent durablement dans la commune, créent des emplois et s’acquittent de leurs obligations sociales et fiscales. Il est donc essentiel de leur garantir un environnement concurrentiel équitable et sécurisé.
Nous vous saurions reconnaissants de bien vouloir rappeler ces obligations aux organisateurs et exploitants concernés.
Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, Madame la Maire, Monsieur le Maire, l’expression de notre haute considération.
*Extraits du guide des débits de boissons- éditions 2018 – ministère de l’Intérieur
Patrice MOUNIER
Président UMIH 84
06 12 26 06 22
Obligation d’évaluer les risques liés aux épisodes de chaleur intense
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Je sais vous allez me dire ce n’est pas possible qu’un tel arrêté s’applique in extenso à nos métiers. Si on doit faire ce qu’il est écrit, on ferme tous.
C’est difficile de croire qu’aucune personne au gouvernement ou dans l’administration n’ai pas pensé à faire un arrêté spécifique à nos métiers.
Alors lisez en entier la circulaire, il y a certaines choses que vous pouvez mettre en place notamment sur le DUER, mais attention les inspections du travail sont citées tout au long de cet arrêté et vont être en première ligne, les contrôles c’est maintenant.
Mettez toute l’eau fraiche que vous pouvez à disposition de vos salariés, cuisine et salle, permettez à certains salariés de ne pas mettre de veste de cuisine, fournissez leur des tee-shirts qu’ils changeront souvent, essayez tout ce qui vous semble faisable.
Obligation d’évaluer les risques liés aux épisodes de chaleur intense
A partir du 1er juillet 2025, la protection des travailleurs contre les risques liés à la chaleur est renforcée
Un décret du 27 mai 2025 renforce les obligations des employeurs en matière d’évaluation de prévention des risques liées aux épisodes de chaleur intense. À compter du 1er juillet prochain, les employeurs devront ainsi évaluer les risques liés au travail lors de la survenue de tels phénomènes météorologiques, et prendre des mesures de prévention en vue de les réduire. En cas d’inaction, l’inspection du travail pourra prononcer une mise en demeure assortie d’un délai d’exécution minimum de huit jours.
L’eau mise à disposition doit permettre aux salariés de se désaltérer et de se rafraichir.
Un décret et un arrêté parus au Journal Officiel du 1er juin 2025 renforcent la protection des travailleurs en cas d’épisode de chaleur intense.
Un nouveau risque lié au travail durant des épisodes de chaleur intense est intégré dans la partie du code du travail relative à la santé et à la sécurité au travail et à la prévention de certains risques (Art. R. 4463-1 nouveau du code du travail).
L’arrêté définit l’épisode de chaleur intense sur la base du dispositif de vigilance dénommé « canicule » de Météo-France qui établit différents seuils de vigilance : jaune (pic de chaleur), orange (canicule), rouge (canicule extrême).
Lire la suite en cliquant sur :
Obligation d’évaluer les risques liés aux épisodes de chaleur intense.pdf
Les bistrots et cafés, fierté du patrimoine français : l’UMIH 84 s’engage pour leur rayonnement mondial
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Plus qu’un comptoir ou une terrasse ensoleillée, les bistrots et cafés sont l’âme de nos villes et villages. Ces lieux de vie, de partage et de convivialité façonnent notre culture depuis des siècles. Aujourd’hui, l’UMIH réaffirme son engagement à préserver et valoriser ce patrimoine vivant aux côtés de l’Association des Bistrots et Cafés de France, avec un objectif ambitieux : leur inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Un partenariat fort pour une cause essentielle
En septembre 2024, les bistrots ont été inscrits au Patrimoine culturel immatériel de la France. Une victoire historique, fruit du travail mené avec passion par Alain Fontaine, fondateur de l’Association des Bistrots et Cafés de France, et soutenu activement par l’UMIH.
Forts de ce succès, Laurent Lutse, président national UMIH Cafés, Bars et Établissements de Nuit, et Alain Fontaine ont décidé d’aller encore plus loin en visant une reconnaissance mondiale.
Objectif : l’UNESCO.
Pourquoi défendre les bistrots et cafés ?
« Les bistrots sont avant tout des lieux de vie, d’échanges, de socialisation. Dans les zones rurales, ce sont souvent les derniers lieux de vie. Ils sont essentiels. »
— Laurent Lutse
Au-delà de leur dimension économique, ces établissements ont une valeur culturelle, sociale et humaine inestimable. Ils sont les témoins de nos histoires locales, les catalyseurs du lien social, les repères de générations entières.
L’UMIH 84 solidaire et mobilisée
En tant qu’acteur de terrain, l’UMIH 84 salue et soutient pleinement cette démarche. Nous encourageons tous nos adhérents à rejoindre ce projet porteur de sens en s’impliquant activement dans la préservation de nos bistrots.
En tant qu’adhérent UMIH, vous pouvez :
• Rejoindre gratuitement l’Association des Bistrots et Cafés de France
• Participer à la campagne en faveur de leur inscription à l’UNESCO
• Valoriser votre établissement en tant qu’ambassadeur de la culture française
Une tradition à faire rayonner dans le monde entier
« Nous allons montrer au monde cette façon très française d’aborder tous les sujets au bistrot, qu’ils soient badins ou très sérieux, avec apaisement. »
— Alain Fontaine
Rejoignez le mouvement, faites vivre votre patrimoine, et participez à cette aventure collective !
L’UMIH, plus que jamais la voix forte de l’hôtellerie-restauration !
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C’est officiel : l’UMIH confirme son leadership national dans le secteur des cafés, hôtels et restaurants pour la 3e fois consécutive !
Avec 51,08 % d’audience salariés (+3,5 points par rapport à 2021) et 68,65 % des entreprises adhérentes, notre représentativité est plus forte que jamais.
Une progression historique qui nous permet d’agir seuls pour conclure des accords ou exercer un droit d’opposition dans les négociations sociales.
Merci à nos présidents départementaux, à nos partenaires (SNEG &CO, Culture Nuit, UCHRA) et à toute la profession pour leur mobilisation.
Avec une position renforcée, l’UMIH poursuivra sa mission : défendre, représenter et faire progresser tous les acteurs de notre secteur.
Thierry Marx, président confédéral :
« Ce succès collectif marque une étape clé pour la profession. »

L’intelligence artificielle : une révolution à venir dans l’hôtellerie et la restauration ?
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D’après l’article « Dans l’hôtellerie, les balbutiements de l’IA, en attendant la révolution » par Séverine ROUBY du Dimanche 23 mars 2025 Journal AFP
Les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration sont en pleines mutation, notamment avec l’arrivée de nouvelles technologies, dont l’intelligence artificielle (IA). Si l’IA s’intègre progressivement dans nos vies, elle est encore à ses balbutiements dans le secteur hôtelier. Toutefois, les professionnels du secteur voient en elle un levier majeur pour transformer l’expérience client, améliorer les services et optimiser les opérations.
L’IA : une solution pour libérer du temps L’un des enjeux majeurs de l’intelligence artificielle, selon Charles-Antoine Duron, directeur tourisme et mobilité chez Google, est de libérer du temps aux employés pour qu’ils puissent se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. L’IA peut en effet traiter certaines demandes simples, comme la gestion des réservations ou la personnalisation des services, permettant ainsi aux équipes de se consacrer davantage à l’accueil client et aux relations humaines.
Un exemple frappant est l’utilisation de Alexa d’Amazon pour offrir un service de conciergerie numérique dans certaines chaînes hôtelières. Grâce à cette technologie, les clients peuvent non seulement obtenir des informations générales sur leur destination ou leur séjour, mais aussi effectuer des actions comme réserver un taxi ou signaler des problèmes en quelques mots.
Malgré ses enjeux son usage reste encore timide
Malgré ces premières avancées, l’utilisation de l’IA reste timide en France. Selon une étude menée par l’UMIH, 63 % des hôteliers français n’utilisent pas du tout cette technologie. Les raisons sont multiples : un manque de conviction sur son efficacité, une crainte de voir l’humain disparaître de la relation client, un cout élevé que toutes les structures ne peuvent pas se permettre ou encore des solutions qui ne sont pas encore suffisamment abouties.
Véronique Siegel, directrice de la branche hôtellerie de l’UMIH, souligne que dans certains établissements, l’IA est déjà utilisée pour répondre aux commentaires des clients en ligne, permettant ainsi de limiter les frictions et d’améliorer la satisfaction globale. Cependant, toutes les solutions ne rencontrent pas encore le succès escompté. Un test d’un outil d’IA en chambre, par exemple, a montré que très peu de clients ont effectivement utilisé la solution, ce qui a laissé les hôteliers perplexes.
Une nécessaire adaptation
Face à ces enjeux, les professionnels du secteur doivent s’adapter. L’arrivée prochaine des agents de voyage IA, qui pourraient révolutionner la manière de réserver des séjours, est un exemple de ce changement. Charles-Antoine Duron affirme qu’il est crucial pour le secteur de se préparer et d’accepter cette transition, plutôt que de tenter de la freiner.
Cependant, certaines préoccupations demeurent, notamment concernant le rôle des plateformes comme Booking qui ne partagent pas les données des clients avec les hôtels. Cela limite les possibilités pour ces derniers d’améliorer leur offre et de se positionner efficacement sur le marché. L’Union européenne travaille sur de nouvelles réglementations visant à contrer la position dominante de certaines plateformes et à rééquilibrer les rapports de force.
IA et personnalisation de l’offre
L’IA, en plus de permettre un gain de temps, peut aussi offrir une hyper-personnalisation des services. La chaîne Best Western, par exemple, utilise l’IA pour adapter les services et les séjours de ses clients. Une partie de ces derniers apprécie cette personnalisation, tandis qu’une autre partie la trouve trop intrusive.
Les hôteliers doivent donc trouver le juste milieu entre offrir des services innovants et ne pas effrayer leurs clients avec une technologie omniprésente. En fin de compte, l’IA doit rester un outil au service de l’humain, et non l’inverse.
L’avenir de l’IA dans l’hôtellerie
L’avenir de l’IA dans le secteur hôtelier semble prometteur, mais la route est encore longue. Des solutions comme Happening Now, un outil permettant de mieux anticiper les pics de demande et de gérer les stocks, montrent que l’IA peut aussi jouer un rôle dans la gestion opérationnelle des établissements. Cependant, ces technologies doivent être adoptées avec prudence, en gardant à l’esprit que l’expérience client reste au coeur des préoccupations des hôteliers.
En conclusion, bien que l’IA soit encore peu utilisée dans l’hôtellerie, elle ouvre la voie à des opportunités intéressantes pour améliorer l’efficacité des opérations et enrichir l’expérience client. L’UMIH continuera à soutenir ses adhérents dans l’exploration de ces nouvelles technologies, tout en gardant à l’esprit que l’humain doit rester au centre de la relation client.
NORMEC Abiolab Labhya
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Après la fermeture du Laboratoire d’analyses du Vaucluse, nous avions trouvé un partenaire, ce partenaire a grandi et est devenu NORMEC Abiolab Labhya. Si on le mets en avant aujourd’hui c’est parce que pour les ERP, hôtels, campings il est le meilleur en termes de dépistage et prévention des risques LEGIONNELLES dans les eaux chaudes sanitaires (douches / SPA / hammam etc…) et ces contrôles sont appelés à se renouveler souvent !! , il reste cependant aussi le meilleur pour les analyses alimentaires .
Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau partenaire :
NORMEC Abiolab Labhya
Pour vos contrôles en termes de risques LEGIONNELLES
Depuis 2010 et l’arrêté que vous trouverez en cliquant sur :
Arrêté_du_1er_février_2010_légionelle.pdf , arrêté qu’il faut prendre le temps de lire.
Voici les obligations demandées par l’ARS concernant les hôtels, camping et ERP en termes de dépistage et prévention des risques LEGIONNELLES dans les eaux chaudes sanitaires (douches / SPA / hammam etc…) :
-Prélèvement une fois par an (points de contrôle à définir selon installation)
-Maintien d’un carnet de suivi (Température de l’eau, traitement, points de contrôle etc…)
-Plan du réseau ECS (eau chaude sanitaire)
Afin de répondre à cela, vous pouvez faire appel à notre partenaire
NORMEC Abiolab Labhya
qui est certifié COFRAC, qui pourra faire un point sur vos besoins, vous aider à définir les points de contrôles et vous établir un devis.
Dans le cadre du partenariat, vous pourrez bénéficier d’une remise de 10% pour la signature d’une convention annuelle de suivi dépistage légionnelles.
Mais aussi pour vos ANALYSES ALIMENTAIRES, vos TESTS DE SURFACE,
qui sont et restent les meilleurs moyens de montrer que vous travaillez correctement face à un(e) contrôleur(e). Lors des nouveaux contrôles sous l’égide de VERITAS dans notre département, avoir fait et pouvoir montrer les résultats d’analyses alimentaires et des tests de surface sont un véritable plus .
C’est pour cela que vous devez lire le nouveau flyer :
Une réflexion de B. Boutboul pour les restaurateurs
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Un avis de tempête était annoncé sur la restauration depuis quelques années. Nous sommes bel et bien au milieu de cette tempête qui dure…
Elle se caractérise par des fréquentations qui reculent et très fortement chez certains, pendant que chez d’autres elles frolent une croissance à 2 chiffres. Avec des distorsions de fréquentations d’un jour à l’autre de plus en plus fortes et de moins en moins expliquables. Sans parler du terrible manque de main-d’œuvre qui s’amplifie.Mais aussi par des consommateurs qui réduisent leurs dépenses ou réduisent leurs sorties, d’autres qui vont plus souvent au restaurant pendant que d’autres sont moins fidèles.D’autres qui sont surprenants dans le choix de leur repas, d’autres qui ne se mettent plus à table pour manger ou d’autres qui ne jurent que par la vente à emporter ou la livraison. Sans parler de ceux qui se sont découvert une allergie ou les fameux flexitariens…
Toutefois, cette tempête a une autre origine. Elle est dû à l’écrasement des marges.
Les prix des matières premières et de l’énergie continuent leur ascension, sans parler des frais de transport et bien évidemment du poids des charges de personnel et de l’instabilité fiscale depuis 2009 ou la TVA est descendue de 19,60% à 5,5%, avant de remonter à 7% puis 10%. Et il faut probablement s’attendre un jour à un alignement européen aux environs de 13%.La répercussion sur les prix de vente est de moins en moins possible.On le sait depuis plusieurs années, la sensibilité aux prix est devenue très forte.
Alors quelles sont les solutions pour enrayer cet écrasement des marges ?
-Baisser le niveau de qualité en vendant au même prix ? C’est peu recommandable car les consommateurs sont de plus en plus à la recherche de goût, de plaisir, de convivialité et de partage.
-Diminuer les quantités en vendant au même prix ? C’est risqué car le manque de générosité dans l’assiette est de plus en plus critiqué.
Je ne parle pas de ceux qui augmentent leur prix sans aucune justification, ils ont décroché depuis longtemps et ne s’en relèveront peut être pas.
Il n’est donc pas évident et à la fois périlleux d’agir contre la chute de fréquentation. Deux pistes sont à explorer pour tenter de relancer les fréquentations:
Être le moins cher, ce qui nécessite de faire de gros volumes pour être rentable, ou être le meilleur, ce qui impose d’être constamment rigoureux sur la qualité, le service, l’intérieur de l’établissement, et cela nécessite des investissements humains et financiers permanents.
Dans les années 1980, un consultant disait que l’objectif d’un restaurant était d’atteindre les 4 AS :
Accueil Souriant,
Ambiance Sympathique
Assiette Savoureuse
Addition Sage.
Aujourd’hui ceci n’est plus un objectif mais une condition pour « être » un restaurant aux yeux de ses clients. Ses attentes sont bien au delà.
C’est dans la tempête que l’on reconnaît les bons marins !
LA COM’ BY YOUCAP
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Aujourd’hui, la communication digitale est essentielle pour attirer des clients, se démarquer et fidéliser sa clientèle. Réseaux sociaux, avis clients, Google Business …autant de leviers incontournables pour booster la visibilité de votre établissement.
Nous avons alors cherché un véritable partenaire et nous avons trouvé 2 jeunes femmes qui ont monté leur boite et qui aussi sont des formatrices pour ce genre de communication.
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Alors n’hésitez pas à les contacter, à les questionner sans oublier de nous faire remonter vos discussions et votre ressenti avec ce partenaire.
Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau partenaire :
LA COM’ BY YOUCAP
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Circuit court au restaurant : 1 Français sur 4 attentif à la saisonnalité des produits
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mais 9 sur 10 sensibles au nom des producteurs sur le menu
En marge du Salon de l’Agriculture, les résultats du 5e baromètre Pourdebon, sur la consommation des Français en circuit court, viennent d’être publiés. Détail des principaux enseignements de cette étude.Les Français sensibles à la proximité et à la traçabilité de ce qu’ils mangent. Ici, le chef étoilé Thomas Cabrol, aux fourneaux de la Villa Pinewood, dans le Tarn, privilégie la cueillette sauvage de quelque 150 plantes et fleurs environnantes. Qu’attendent les Français, en termes de circuit court, lorsqu’ils se rendent au restaurant ? C’est le thème du 5e baromètre réalisé par l’institut de sondage Kantar pour la plateforme Pourdebon.com, marché en ligne de producteurs répartis sur toute la France. Premier enseignement : pour 25 % de la population qui s’est rendue au restaurant en 2024, “l’utilisation de produits de saison” est le critère le plus important. Confirmation de cette tendance : 52 % des Français qui ont fréquenté un restaurant en 2024 classent cet item dans le top 3 des critères de choix et d’expérience les plus importants.
9 Français sur 10 sensibles au nom des producteurs sur le menu
Autres constats issus du baromètre Pourdebon : 39 % des clients de restaurant privilégient les établissements qui sourcent leurs produits dans un rayon de 200 kilomètres et 37 % souhaitent de la transparence sur l’origine de ce qu’ils trouvent dans leur assiette. En effet, 90 % des Français qui vont au restaurant apprécient de voir apparaître le nom des producteurs sur le menu. Proximité et traçabilité sont donc au cœur des attentes des Français lorsqu’ils se restaurent hors domicile. Dans cette même veine, la découverte de produits originaux ou insolites compte pour 31 % des personnes interrogées. En revanche, l’utilisation de produits labellisés (18 %), issus de l’agriculture biologique (17 %) ou encore respectueux d’une juste rémunération des producteurs (12 %) sont perçus comme moins prioritaires
Alliance des Energies
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Notre contact à la CCI avec qui nous avons travaillé depuis plusieurs années a quitté la CCI. Nous avons alors cherché un véritable partenaire et grâce à des UMIH Départementales nous avons pu rencontrer Alliance des Energies et signer un partenariat. Alors n’hésitez pas à le contacter, à le questionner sans oublier de nous faire remonter vos discussions et votre ressenti avec ce partenaire.
Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau partenaire :
Alliance des Energies
pour vous accompagner dans la maitrise de vos dépenses énergétiques.
Dans un contexte où les coûts de l’énergie ne cessent d’évoluer, l’UMIH 84 a mis en place un partenariat avec Alliance des Énergies afin de vous accompagner dans la maîtrise de vos dépenses énergétiques.
✔ Qui est Alliance des Énergies ?
Alliance des Énergies est un acteur spécialisé dans la négociation et la sécurisation des contrats d’électricité et de gaz. Nous accompagnons déjà de nombreuses entreprises du secteur CHR dans la gestion et l’optimisation de leurs dépenses énergétiques.
✔ Pourquoi cet accompagnement ?
Le marché de l’énergie est complexe et soumis à de nombreuses fluctuations. Grâce à ce partenariat, vous pouvez bénéficier d’un audit personnalisé, d’une stratégie d’achat adaptée et d’outils de suivi performants pour mieux gérer vos consommations.
✔ Qui bénéficie déjà de cet accompagnement ?
Alliance des Énergies travaille avec de nombreux établissements du secteur CHR, des indépendants aux grandes chaînes, pour les aider à sécuriser leurs contrats et réduire leurs factures. Ils sont notamment partenaire de plusieurs UMIH
✔ Une offre réservée aux adhérents UMIH 84
En tant qu’adhérent, vous avez accès à une étude gratuite et sans engagement pour analyser vos contrats et identifier les meilleures opportunités.
Pour en savoir plus et bénéficier de cette offre, rendez-vous sur votre page dédiée
https://alliancedesenergies.fr/umih84/
Votre contact dédié
Noé BONNARD – Consultant énergie
Mail: noe.bonnard@alliancedesenergies.fr
Tel: 07 87 38 01 71
N’hésitez pas à le contacter pour toute question !
Communiqué de presse
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Jeudi 13 février dans le journal La Provence, j’ai été stupéfait de lire un article intitulé « la chasse aux boites à clefs est ouverte » (lire l’article en dessous👇 )
En effet dans cet article la mairie d’AVIGNON Ville d’Avignon se gargarise d’avoir lancée une action contre les locations saisonnières, en voulant supprimer les boites à clefs dans la ville. Cela aurait pu faire un beau poisson d’Avril🐟mais nous sommes en février.
J’ai tout de suite voulu rencontrer le journaliste pour lui donner la version de l’UMIH 84. Dès le samedi 15 un article était publié pour expliquer notre position sur ce sujet. (Lire l’article « Airbnb, Abritel. Nous alertons depuis 10 ans »👇)
👊Nous avons également publié un communiqué de presse à l’attention des autres journaux de la ville d’AVIGNON.


